International: ce qui fait l’actualité à l’étranger

Hors des frontières camerounaises l’actualité est dense. Entre politique, économie et nouvelle technologie, les États vibrent.

RDC: l’UA reconnaît Tshisekedi

L’Union européenne et l’Union Africaine se disent prêtes à travailler avec le président élu de la République Démocratique du Congo Felix Tshisekedi. Après avoir émis des doutes sur sa victoire, l’annonce a été faite par leurs représentants ce 22 janvier 2019 à Bruxelles. “Nous sommes prêts en tant qu’Union africaine à travailler avec le président Tshisekedi et avec toutes les parties congolaises”, a déclaré son représentant Smaïl Chergui au cours d’une conférence de presse avec la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini.

Éthiopie: 13000 personnes amnistiées

Le pays a annoncé ce 22 janvier 2018 à travers les médias d’Etat qu’elle a accordé une amnistie à plus de 13.000 personnes dans le cadre d’un programme de réformes du Premier ministre, Abiy Ahmed, sel. En rappel, le Parlement avait adopté une loi au mois de juillet 2018 permettant aux personnes reconnues coupables de “trahison, crime contre l’ordre constitutionnel et lutte armée” de présenter une demande d’amnistie. Dès son entrée en fonctions en avril, M. Abiy a cherché à mettre un terme aux insurrections de groupes séparatistes ainsi qu’à diverses violations des droits fondamentaux.

Zimbabwe: le président appelle au dialogue

Face à la crise qui secoue son pays, le président Emmerson Mnangagwa appelle à « engager un dialogue national ». En effet, les pourparlers de paix doivent s’ouvrir jeudi 24 janvier 2019.  Objectif: trouver une solution aux violences qui ravagent le pays. En attendant, le président zimbabwéen exhorte les différentes parties à l’apaisement après la contestation sévèrement réprimée des manifestations contre la hausse des prix des carburants. Il promet des sanctions contre les forces de l’ordre en cas de bavures avérées.

TIC: WhatsApp limite les transferts

Après la mise en place de premières limitations en juillet 2018, l’application resserre les règles de partage de messages. En effet, cela permet d’éviter la circulation de fausses informations entre les utilisateurs. Pour Facebook, maison-mère de WhatsApp, les échanges chiffrés entre particuliers rendent impossible toute modération des contenus. Pour le service de messagerie instantanée, la seule solution reste de limiter les transferts massifs. WhatsApp annonce que les utilisateurs peuvent désormais transférer un même message à cinq personnes au maximum, contre vingt auparavant. Une mesure déjà expérimentée en Inde.

@Dieudonné Zra

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