IAI-Cameroun: le projet Mijef 2035 veut conquérir l’Afrique
L’annonce a été faite ce lundi 12 décembre par le Représentant-Résident de l’IAI-Cameroun, en visite à Brazzaville au Congo.
Armand Claude Abanda s’exprimait ainsi, au terme de l’audience à lui accordée par le nouvel Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Cameroun auprès de la République du Congo, M. Louis-Marie Magloire Nkoum-Me- Ntseny.
Une distinction saluée à sa juste valeur
Audience au cours de laquelle, le chef d’établissement IAI-Cameroun lui a présenté le trophée qui lui a été décerné ce 11 décembre, le « prix PAN’AFRIKA ELITE et LEADERSHIP », par les journalistes et entrepreneurs Congolais de Brazzaville et Kinshasa. Une distinction accueillie avec « fierté » par S. E Louis-Marie Magloire Nkoum-Me- Ntseny. D’autres sujets tout aussi intéressants ont été abordés au cours de cette rencontre entre les deux hommes.
Armand Claude Abanda a ainsi saisi l’occasion pour présenter à son hôte, le projet FUGEPAC, le forum des universités et grandes écoles du Cameroun dans l’optique de le relancer à Brazzaville après sa suspension du fait de la pandémie.
L’évangélisation digitale en marche
Il a également été question du lancement d’un nouveau concept : celui de l’évangélisation digitale des populations africaines. Ceci dans le but d’étendre le projet Mijef 2035 de Madame Chantal Biya, dans la plupart des pays africains « afin que la culture digitale soit bien ancrée dans les mœurs. Ce qui entraînerait une meilleure appropriation des avancées technologiques par les populations », comme l’a souhaité le Représentant-Résidant de l’IAI-Cameroun. Pour toutes ces raisons, Armand Claude Abanda a sollicité l’accompagnement de l’ambassadeur du Cameroun en République du Congo.
L’ambassadeur du Cameroun au Congo acquis à la cause
Un accompagnement qui serait d’ores et déjà acquis à en croire l’ambassadeur qui a relevé avec satisfaction que Armand Claude Abanda est un « ouvrier qui contribue à l’œuvre de diffusion et de partage de l’utilisation des Tic que porte la première Dame camerounaise ». Le diplomate s’est pour cela dit heureux de l’accompagner dans sa mission au Congo.
D’autant plus, a-t-il souligné, que l’auteur de « Fils de Prélat », à travers son entrepreneuriat culturel honore le Cameroun avec cet ouvrage qui fait aujourd’hui l’objet d’un examen pouvant donner lieu à son inscription dans les programmes scolaires en République du Congo.
La visite du Représentant-Résident de l’IAI-Cameroun se poursuit en terre congolaise à travers diverses autres activités au programme.
Aline-Florence Nguini